dimanche 26 janvier 2014

Les dangers du soutien gorge

Aujourd'hui, je viens vous parler d'un réel problème de société, appuyé sur des faits scientifiques, qui montre à quel point le soutien-gorge a une utilisation discutable. Ce vêtement, aussi affriolant soit-il, est porté depuis l'Antiquité par une grande majorité de femmes afin de prévenir les risques de mal de dos ainsi que pour empêcher ou réduire la chute des seins. Bien entendu, depuis quelques années, ce vêtement a aussi clairement une vocation esthétique.

Comment en quelques décennies l'industrie de la mode à pu faire croire aux femmes qu'un accessoire dont elles se sont passées depuis des millions d'années leur serait indispensable?

Un médecin du sport s'est intéressé au réel intérêt médical du soutien-gorge et a mené une étude sur 15 ans, qui s'est terminée début 2013, sur un échantillon de plus de 300 femmes, certaines devant toujours porter leur soutien-gorge durant la journée, et les autres avaient les seins qui "vivent" sous le débardeur. Ces femmes avaient entre 18 et 35 ans.

Ainsi, les résultats de cette étude montre que cet accessoire de lingerie ne serait pas aussi utile qu'on nous l'a laissé croire durant toutes ces années.
Effectivement, les femmes qui ne devaient pas porter de soutien-gorge ont raconté que, dès qu'elles ont du en reporter un, elles se sont senties mal à l'aise et n'ont pas supporté le sentiment d'oppression induit par ce vêtement. En outre, des mesures anatomiques faites par le médecin du sport, ont montrés que les mamelons remontaient de 7 mm par an par rapport aux épaules lorsque les seins étaient "libres" et que la poitrine aurait tendance à se raffermir et les vergetures à disparaître.

En effet, ce raffermissement pourrait être expliqué par un auto-portage des seins en absence de soutien-gorge. Ce vêtement, porté quotidiennement, porte artificiellement la poitrine, ce qui aurait tendance à léser les tissus suspenseurs, voire à les dégrader. Comme à la manière d'un élastique, les femmes se créent cette dépendance et provoqueraient alors elles-mêmes la chute de leur poitrine. De plus, il faut se rappeler que pendant des milliers d'années avant l'antiquité, les femmes n'ont pas porté de soutien-gorge.

Cette étude montre donc que le soutien-gorge, vêtement assez indispensable dans notre société actuelle, n'aurait pas d'aussi bonnes raisons d'exister qu'on nous le fait croire. 

Une autre étude sur 4700 femmes à démontrée notamment que les femmes qui portent des soutiens gorge pendant 18 à 24 heures par jour ont 125 fois plus de risques d'avoir un cancer du sein que celles qui n'en portent pas du tout. 

Le soutien gorge compressant les divers ganglions et canaux lymphatiques, les toxines ne sont plus éliminées naturellement par le drainage lymphatique et s'accumulent dans le sein formant des kystes et des tumeurs cancéreuses.
La compressions des capillaires lymphatiques se fait par simple pression et empêche la lymphe chargée de déchets d'aller se déverser dans les vaisseaux ou mêmes les ganglions. Cette lymphe devient alors stagnante et les toxines qu'elle n'a pas pu évacuer feront des dégâts sur place. 
Les soutiens gorge plus ou moins serrés par leur élastiques, leurs armatures ou par leurs bonnets qui remontent les seins, compriment ces capillaires et vaisseaux lymphatiques empêchant la circulation lymphatique. 

Il parait que même un soutien gorge léger est en mesure d'exercer des pressions considérablement supérieures à celles nécessaires pour compromettre le flux lymphatique. 


Etes-vous prête à ne plus porter de soutien gorge? Quelles sont vos habitudes avec celui ci?

Sources: Slideshare; internet

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